J’ai été publiée !

Je suis dans Le Bruit Qui Court n°3

J'ai une parution dans Le Bruit Qui Court
© Tyler Nix

J’ai l’immense joie, bonheur, fierté, chance (je n’arrive pas à rayer de mention inutile) de vous annoncer qu’un de mes textes est publié ! C’est dans Le Bruit Qui Court (le numéro 3) qui est déjà disponible à la réservation.

Le Bruit Qui court comment ça marche ?

Laissez-moi vous présenter cette jeune revue et sa fondatrice Elsa Jousseau. Elsa multiplie les casquettes autour de l’écriture. D’abord, elle écrit et dessine pour elle et pour les autres, mais elle encadre aussi ceux qui écrivent. Elle organise par exemple des retraites d’écriture en Saône et Loire. Elle y accompagne les apprentis écrivains (on dit aussi les écrivants) dans leur aventure littéraire. On passe ainsi quelques jours à la campagne, toutes et tous avec la même ambition : écrire et partager son travail avec ses colocataires. Une bonne occasion de se donner un coup de fouet.

Dans la même ambition, Elsa a fondé la revue Le Bruit Qui Court. Le principe : publier tous les trimestres quelques fictions courtes envoyées par différents auteurs. Aucun style n’est imposé, au contraire. Le but est de donner à voir et à lire les univers, les auteurs, les thèmes qui font penser et écrire nos contemporains.Parution dans Le Bruit Qui court

Angoisse d’écrivante

Comme pour chaque parution, la revue a donc fait un appel à contribution et j’ai tenté ma chance ! Je ne vous cache pas que j’étais un peu fébrile. Moi j’écris pour les autres et je me cache dans leurs histoires ; c’est si confortable. Mais là, je me suis auto-coachée car je suis convaincue qu’il est important de confronter son écriture à quelqu’un qui ne nous connaît pas, ou peu. Quelqu’un qui aura un œil de professionnel.le et non d’ami.e qui ne voit que le bien.

Parce que je ne sais pas vous, mais les avis des ami.e.s je n’ose jamais les entendre lorsqu’ils sont positifs bien qu’étant ravie de les suivre quand ils identifient des points d’amélioration. Appelez moi masochiste, je le reconnais !

Teaser !!!

De peur de trop vous en dévoiler, je ne peux que vous inviter à commander la revue  ou à la chercher en kiosque pour découvrir mon texte 🙂 Il est court, 1 112 mots exactement, c’est le principe me direz-vous ! Alors je vais faire encore plus court, en quelques mots : c’est l’histoire d’une naissance et des sentiments qu’elle fait naître. Chez les heureux parents mais pas seulement.

J’attends d’une minute à l’autre de recevoir mon exemplaire et de découvrir mes camarades de parution. J’espère que vous aimerez !